Résumé
Bienvenue au Musée galactique des Choses disparues ! La nostalgie vous gagne et vous souhaitez retrouver les embruns de la mer ou le goût du miel ? Visiter le Louvre, déambuler dans les plus belles villes de votre Terre adorée ? À moins que vous ne souhaitiez plutôt parler à l’une des personae archivées au Musée ? Qu’importe votre envie, le Musée saura y répondre tant que vous disposez de quoi payer.
Et si ce n’est pas le cas, Rebecca Monelle pourrait bien vous en ouvrir l’accès pour une somme plus raisonnable. Car dans une société où vos données personnelles valent de l’or et peuvent être revendues, mieux vaut être capable de racheter ses droits si l’on ne veut pas finir aux mains du système et de ses investisseurs.
Rebecca a soif de liberté, Io Ban est prêt à tout pour parler à l’archive de sa sœur, mais ce qu’ils vont découvrir pourrait bien aller au-delà de tout intérêt individuel.
Résumé
Bienvenue au Musée galactique des Choses disparues ! La nostalgie vous gagne et vous souhaitez retrouver les embruns de la mer ou le goût du miel ? Visiter le Louvre, déambuler dans les plus belles villes de votre Terre adorée ? À moins que vous ne souhaitiez plutôt parler à l’une des personae archivées au Musée ? Qu’importe votre envie, le Musée saura y répondre tant que vous disposez de quoi payer.
Et si ce n’est pas le cas, Rebecca Monelle pourrait bien vous en ouvrir l’accès pour une somme plus raisonnable. Car dans une société où vos données personnelles valent de l’or et peuvent être revendues, mieux vaut être capable de racheter ses droits si l’on ne veut pas finir aux mains du système et de ses investisseurs.
Rebecca a soif de liberté, Io Ban est prêt à tout pour parler à l’archive de sa sœur, mais ce qu’ils vont découvrir pourrait bien aller au-delà de tout intérêt individuel.
Le Musée galactique des Choses disparues est une dystopie cyberpunk qui ravira adolescents et jeunes adultes.
Thèmes abordés
Famille, intelligence artificielle, réseaux sociaux, inégalité des chances, classisme, deuil, suicide, injonctions à la performance, injonctions à la productivité, trouver sa voie, écologie, conquête spatiale
Que feriez-vous si votre vie était résumée par un nombre, qui évolue à chacune de vos actions ?
Pourquoi ce roman ?
Le Musée Galactique des Choses Disparues est ce que j’appelle ma vraie première idée d’envergure.
On était en fin d’été 2014, juste avant mon entrée à l’université. Et, même si à l’époque j’avais une idée très nette de ce que je pensais vouloir faire de ma vie et comment y arriver (hum), j’avais envie d’écrire sur le thème de l’identité, de la quête de soi. Je me posais pas mal de questions sur les réseaux sociaux, sur ce qu’ils montrent des gens. Sur ce que les gens acceptent de montrer d’eux-mêmes, sur l’histoire qu’iels se racontent.
Tout ça a tourné dans ma tête comme une genre de soupe primordiale pendant quelques temps et puis pouf, l’idée de ce Musée qui conservait aussi bien les choses que les gens, m’est venue. J’ai écrit le premier chapitre cette année-là, le second, deux ans après. J’ai repris ce projet à la fin de mes études – ce qui, a grandement influencé les thèmes abordés dans ce roman, comme la pression de la performance, de la productivité, etc. Bref. J’y ai mis mes tripes, et toute ma perdition de jeune adulte qui ne savait pas quoi faire d’elle-même.
J’espère vraiment que ce roman tombera dans les mains de jeunes (et moins jeunes peut-être) qui traversent ce genre de période.
Pourquoi ce roman ?
Le Musée Galactique des Choses Disparues est ce que j’appelle ma vraie première idée d’envergure.
On était en fin d’été 2014, juste avant mon entrée à l’université. Et, même si à l’époque j’avais une idée très nette de ce que je pensais vouloir faire de ma vie et comment y arriver (hum), j’avais envie d’écrire sur le thème de l’identité, de la quête de soi. Je me posais pas mal de questions sur les réseaux sociaux, sur ce qu’ils montrent des gens. Sur ce que les gens acceptent de montrer d’eux-mêmes, sur l’histoire qu’iels se racontent.
Tout ça a tourné dans ma tête comme une genre de soupe primordiale pendant quelques temps et puis pouf, l’idée de ce Musée qui conservait aussi bien les choses que les gens, m’est venue. J’ai écrit le premier chapitre cette année-là, le second, deux ans après. J’ai repris ce projet à la fin de mes études – ce qui, a grandement influencé les thèmes abordés dans ce roman, comme la pression de la performance, de la productivité, etc. Bref. J’y ai mis mes tripes, et toute ma perdition de jeune adulte qui ne savait pas quoi faire d’elle-même.
J’espère vraiment que ce roman tombera dans les mains de jeunes (et moins jeunes peut-être) qui traversent ce genre de période.